un oiseau barbu s’obstine à les surveiller triste torrent l’oiseau bave et les montagnes fuient aux confins d’un univers sanguinolent que ce nuage est triste que ce village se déchire et que les routes disparaissent l’ombre se passera de guide et la mort de référence ce mur est abject ces rochers sont des hommes ils s’imaginent que ces fissures vont s’agrandir et que la terre va éclater il regarde sa chanson est triste triste blanche la dérision d’une pierre posée en signe de protestation déjà recouverte par le lierre d’hiver et la bave fuit de lourdes bulles explosent il crée la magie du verbe oiseau le fantastique du pronom démonstratif montagne c’est car c’est ce qui se fait couramment tout-pour tout-pour tout j’avoue un verbe et un pronom