que leur sort s’éloigne du leur d’un chaos inextricable il fut impossible de retirer une vie l’auteur signifie leur congé aux pauvres créatures leur coeur s’éloigne et les ignore quand un noir d’encre recouvre les dernières traces et laisse espérer une nouvelle promesse leur ennemi s’est enfui leur corps va brûler voir cette folie mourir et je tremble pour ne plus sentir ce froid et tout fuit en de terribles serres leur ultime chant de guerre entonné par maladresse